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Le diable et le bon Dieu
Rouen : Cathédrale
Vous qui passez, merci de laisser une trace de votre passage.
Mode d’emploi à l’usage des paresseux passifs
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Voici quelques exemples de réponse
(je vais tâcher de ne pas faire de fautes d’orthographe)
- Bof ! ça me laisse de marbre.
- Merci Michel pour ta proposition.
- J’imagine que tu as redressé les perspectives pour avoir ce regard frontal, malgré ce qui semble bien être une contre plongée ?
- Pourquoi n’as-tu pas enlevé le semblant de bras de la voisine de gauche ?
- Le diable est du côté de l’ombre et à gauche de la jolie fille ; est-ce un hasard ?
- Il n’y a que le diable qui ne soit pas manchot.
- J’entends bien, dans le creux de l’oreille, ces mots qui attisent le désir et le souffle qui rougit les braises de la tentation.
- Certes elle est voilée, mais quelle délicatesse dans le voile, quelle sensualité dans cette mise en scène de la chevelure. Elle se laisse voir, elle a sûrement d’autres attraits qu’un galbe à peine discret laisse deviner.
- Ah ce port altier qu’adoucissent les plis de la robe ! quel emballage (endallage) !
- Fille d’Eve, tu vas croquer la pomme ! c’est sur, j’en donne ma main à couper ! (le petit ange du bien a perdu son pari)
- Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre…
- C’est à moi de décider et j’ai le choix. Je peux faire bien (le bien) ou mal (le mal). Mais ce n’est pas comme ça que ça se passe, en général, je fais d’abord (le bien ou le mal) ensuite je j’essaie de justifier mon choix (ou bien je le regrette, mais rarement !)
- J’envie les sculpteurs (les photographes), ils font vibrer le silence
- J’envie les poètes, ils font vibrer le vocabulaire.
- J’ai regardé ta photo, mais je ne sais pas quoi dire.
- Je ne sais pas quoi dire, mais j’ai regardé ta photo.