• Botero : c'est gros mais jamais gras

    Un regard sur l'expo BOTERO  à Erstein.

     

    le but n'est pas de reproduire des tableaux, ce qui permettrait de les faire connaitre ou de donner envie d'aller les voir (qui serait déjà méritoire) mais de proposer une lecture personnelle. Il s'agit bien de rendre compte d'un moment où il y a eu confrontation avec ces tableaux, dans un espace donné et dans des circonstances particulières. 

     

    Le cadrage est déjà une reconstruction. Mais si on s'autorise un montage, on crée du sens, différent de ce qu'on peut voir dans l'exposition elle-même.

    Mettre côte à côte, Adam et Eve au paradis, et les jeunes mariés, en inverser la lecture, voilà des invitations et des questions, voire même des remises en question.

    Bonne visite !

    Botero : c'est gros mais jamais gras

     

     

    Pas si facile de bien  cadrer

    Botero : c'est gros mais jamais gras

     

     

    Botero : c'est gros mais jamais gras

    Il ne faut pas aller voir Botero pour l'érotisme, il n'y en a pas. Il faut y aller pour la peinture. Elle est joyeuse et innocente.  Les hommes, eux, ont l'air impassibles, voir idiots. Même les miroirs ne réfléchissent rien.

     

            Bordel

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Botero : c'est gros mais jamais gras

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      

    Botero : c'est gros mais jamais gras

     

     

    Un homme et une femme : des idées... des envies... ?

     

     

    Botero : c'est gros mais jamais gras

    Botero : c'est gros mais jamais gras

     

     

     

     

    On pourrait les voir comme ça...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Botero : c'est gros mais jamais gras

     

     

     

     

     

     

     

    Ou bien encore comme ça...

     

    ce n'est évidemment pas la même histoire,

    le paradis, c'est soit avant, soit après...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Botero : c'est gros mais jamais gras

     

     

    J'adore ce geste du bras,

    on ne sait pas si'il veut cueillir la pomme, ou si c'est un geste d'adieu,

    ça pourrait signifier :

    - salut, moi j'entre au paradis

    - salut, on se retrouve à la prochaine photo

     

     

    Le mariage comme commencement ou comme fin ?

              etc. à vous de jouer !