• Charon

     

     

     

     

     Raymond Rapp

     

    JUSTE POUR REVER

     

    Charon

     

    D'habitude laphoto précède la critique, il semblerait ici au contraire  que Raymond se soit inspiré d'une critique.

     

    Il signale dans sa publication :


    Un éminent analyste d'images de mes amis vient d'écrire à propos d'une photo d'un auteur égyptien:
    "Ca part d'une photographie de la réalité que le travail numérique détourne de son objet premier pour en faire une proposition esthétique propice à une méditation personnelle du spectateur".
    Alors, je voudrais soumettre à votre imaginaire ce petit travail que m'ont inspiré mes fantasmes les plus inavouables.

     

     

    On connait les fantasmes avoués de Raymond, ce que lui inspirent les inavouables ne manque pas d’intérêt ; la navigation entre le rose chair et tendre et le violet de la pénitence, l’hésitation entre le réel et son reflet, les noirs structurants en éclatements verticaux, les éclaircies de profondeurs… des nuages de tendresse aux abris de la nuit... d’insensibles clapotis sur des rives inconnues…  Photographe Charon, je te laisse  en obole ces quelques mots admiratifs.

     

     

    l'analyse dont parle Raymond se trouve à la page "forêt rouge" dans la liste des analyses.