J'ai horreur de ces tables, elles me rappellent des mauvais souvenirs d'examens où on devait passer 7 h à disserter, dans un total inconfort. J'avais écrit au Recteur qu'on pourrait avoir souci de nos fesses autant que de nos têtes. 

Mais j'ai eu le coup de coeur pour celle-ci,ce matin, à cause de la lumière, à cause de l'ombre, mais aussi parce qu'on y a refait le monde (et l'Elsau) avec des architectes qui ont envie que ça bouge.  D'où table rase et nouvelles perspectives.